Le lendemain matin après avoir passé une nuit moins agitée,
une belle journée s’annonce. Le ciel a l’air de ce dégager et la confirmation
arrive vers 10h30 quand d’un seul coup le ciel devient bleu et le soleil
brille, décidément le changement de marée à du bon. Je profite après avoir fait
une grande promenade avec Patty de regarder dans mes coffres et commencer à les
ranger afin de voir comment je pourrais mettre ma table à repasser, seau et
aspirateur. Bien que je sais que ce genre de chose n’est pas du tout adapté
dans un bateau, il fallait bien que je prenne la table à repasser avec afin que
mes habits ne soit pas trop chiffonné et avoir l’air d’être civilisé, car
malgré mon changement de vie, je dois rester malgré tout encore terrien pour
une douzaine d’années à aller au travail. Patty se trouve dehors afin de
profiter des rayons du soleil mais elle est toujours en train de me surveiller
du coin de l’œil, à mon grand étonnement elle c’est bien habitué à ce
changement, comme elle avait l’habitude de surveiller le moindre mouvement
quand elle était dans le jardin, elle fait de même en regardant le va et vient
des plaisanciers allant sur leur bateau ou les pêcheurs occupés à décharger la
pêche du jour.
Je commence aussi à l’apprendre à marcher sur le pont, tout
de suite elle à compris le danger mais elle ne fait des fois pas attention
tellement elle est pressée de rester près de moi au cas où je m’enfuirai sans
elle. Je ne rouspète pas dessus, je la caresse et l’embrasse afin qu’elle comprenne
que jamais je la laisserai. Ca peut paraitre idiot pour celui qui n’a pas de
chien mais celui qui en a un et qu’il l’aime le comprendra. Enfin, toutes les
affaires sont plus ou moins rangées et je passe les autres jours à profiter du
soleil, de faire de longue promenade avec Patty et découvrir les alentours du
port du grand large. Il y a beaucoup de balade et d’endroit à découvrir, malgré
le vent et le froid régnant je me sens bien, j’ai même le sentiment d’être en
vacances.
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