Etienne n’a pas de bateau pour l’instant, il en est au stade
de la recherche de la perle rare mais aussi à faire les démarches pour un place
au port. Il me demande si ça m’intéresse de faire des sorties en duo ou accompagné
de Michèle, je lui réponds qu’ils sont les bienvenus et lui explique que je ne
connais pas bien le bateau.Je lui avoue que je ne demande pas mieux car je
pourrais faire des sorties sans trop me soucier pour l’écluse pour que je
puisse perfectionner mon approche contre ses murs ainsi que d’avoir quelques
conseils non négligeable pour le réglage des voiles puisqu’il m’a dit qu’il
avait pris des cours à l’école de voile au grand large. Nous faisons des
sorties régulières qui permettent de nous perfectionner mais aussi de passer de
bons moments sur l’eau.
Sauf une seule fois où il y a eue des moments de frayeurs
pour Michèle car Etienne veut absolument pousser Eldorado, pour moi ça permet
de voir les performances du voilier mais il ne voit pas qu’elle a terriblement
peur perdu dans son ivresse de la vitesse, je suis obligé de le raisonner afin
que l’on ralentisse le bateau car Michèle se trouve à quatre pattes dans le
cockpit à côté de Patty. Je décide en une fraction de seconde de reprendre les
commandes de la barre, après avoir mis le pilote automatique je réduis les
voiles afin de perdre de la vitesse et je remets le cap pour rentrer au port
afin de se retrouver dans des eaux calmes pour sa femme. Tout en rentrant au
moteur dans le chenal du port, je profite que Michèle soit rentré dans le carré
pour se mettre au chaud pour lui expliquer qu’il fallait arrêter absolument car
si il aurait insisté je pense que dans l’avenir il ferait de la voile seul
comme la plupart des plaisancier qu’ils n’ont pas étés raisonnable avec leurs
épouses.
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